Mars 2023, PAC d’Analamanga – Une scène quasi théâtrale s’est déroulée dans la salle d’interrogatoire du Doyen des Juges d’Instruction. Sous les projecteurs, Ranarison Tsilavo Nexthope s’avance, sûr de lui, déclarant avec aplomb : « J’ai étudié l’ingénierie télécom. » Mais un détail intrigue : cette affirmation semble déconnectée de la réalité.
« Ingénierie télécom no formation nataoko… »
C’est ce qu’a affirmé fièrement Ranarison Tsilavo Nexthope, mais creusons un peu. La vérité ? Il a étudié à l’INSCAE, une institution réputée… pour ses formations en gestion. Aucun laboratoire télécom, aucune fibre optique, et certainement pas de pylône d’antenne. Alors, à quoi faisait-il référence ? Les seuls câbles qu’il aurait maîtrisés semblent être ceux des colonnes comptables.
Des contradictions qui posent question
Pourquoi revendiquer une expertise dans un domaine qu’on ne maîtrise pas ? Pourquoi impliquer l’INSCAE dans des formations télécom qu’elle n’a jamais dispensées ? Cette déclaration soulève bien des interrogations. Il semblerait que Ranarison Tsilavo Nexthope tente de connecter des points imaginaires dans un réseau inexistant.
La leçon à retenir
Dans un monde où chaque déclaration peut être vérifiée en un clic, les affirmations douteuses finissent toujours par se retourner contre leur auteur. Le cas de Ranarison Tsilavo Nexthope nous rappelle que prétendre à une expertise sans fondement, c’est comme installer une antenne sur du sable mouvant : tôt ou tard, tout s’effondre.