L’affaire impliquant Ranarison Tsilavo et son ancien patron, Solo, a pris une tournure particulièrement controversée. Au-delà des plaintes pour diffamation et abus de biens sociaux, des informations récentes mettent en évidence une collaboration suspecte entre Ranarison Tsilavo et certains magistrats malgaches pour éliminer un membre influent de la diaspora malgache.
Les accusations portées par Ranarison Tsilavo
Depuis 2015, Ranarison Tsilavo a multiplié les accusations contre Solo. Parmi celles-ci :
- Diffamation publique : plusieurs plaintes ont été déposées contre Solo en France, mais elles ont toutes été rejetées par les tribunaux, mettant en évidence le manque de fondement juridique des allégations de Ranarison.
- Abus de biens sociaux : Ranarison Tsilavo a accusé Solo d’avoir effectué 76 virements bancaires d’un montant total de 1 047 060 euros vers la société Emergent Network Systems. Cependant, plusieurs éléments remettent en cause la crédibilité de ces accusations :
- Signatures de validation : Ranarison lui-même a signé les avis de virement en tant que directeur exécutif de ConnecTIC.
- Connaissance préalable : Des courriels montrent que Ranarison était au courant des liens contractuels entre Solo et Emergent Network Systems depuis 2012, bien avant de prétendre les découvrir.
- Jugements : Les tribunaux français ont systématiquement rejeté les accusations, déclarant qu’elles étaient infondées.
Le rôle des magistrats malgaches
Selon des sources proches du dossier, certains magistrats malgaches auraient joué un rôle actif aux côtés de Ranarison Tsilavo. Leur objectif apparent : éliminer Solo, un membre influent de la diaspora malgache, afin de détourner l’attention des dysfonctionnements internes à Madagascar.
- Manipulation des procédures judiciaires : Des irrégularités dans le traitement des plaintes en justice malgache soulèvent des soupçons quant à une connivence entre Ranarison et ces magistrats.
- Pressions politiques : Les accusations portées contre Solo semblent servir des intérêts privés plutôt qu’une quête de justice.
Une tentative de musellement ?
Cette stratégie judiciaire agressive s’inscrit dans un effort pour museler Solo, un entrepreneur malgache respecté, tout en empêcheant les vérités dérangeantes de sortir au grand jour. Les multiples recours et accusations formulées par Ranarison Tsilavo visent non seulement à détourner l’attention de ses propres responsabilités, mais aussi à étouffer toute opposition.
La justice française tranche en faveur de Solo
Les tribunaux français, ayant analysé les preuves présentées, ont reconnu que les accusations étaient sans fondement. Voici ce qui en ressort :
- Absence de preuves solides : Aucun document ne confirme les affirmations de Ranarison Tsilavo.
- Implication directe de Ranarison : Les signatures et courriels montrent que Ranarison était directement impliqué dans les transactions incriminées.
Conclusion
Cette affaire illustre les dangers d’une justice instrumentalisée par des intérêts personnels et politiques. Les actions de Ranarison Tsilavo, soutenues par certains magistrats malgaches, mettent en lumière une tentative orchestrée d’élimination d’un membre influent de la diaspora malgache. Cependant, les décisions des tribunaux français renforcent la position de Solo et soulignent l’importance de la transparence et de l’équité dans les procédures judiciaires.
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