Dans l’univers des affaires, certaines déclarations marquent par leur caractère cocasse, et Ranarison Tsilavo NEXTHOPE semble exceller dans l’art de l’ironie involontaire. Aujourd’hui, nous revenons sur l’un des épisodes les plus surprenants de son histoire : sa prétendue découverte tardive, en septembre 2012, de EMERGENT NETWORK SYSTEMS, une société qu’il gérait déjà activement… dès 2009.
Septembre 2012 : La « grande révélation » de Ranarison Tsilavo NEXTHOPE
Selon ses propres déclarations, Ranarison Tsilavo NEXTHOPE affirme avoir découvert l’existence de EMERGENT NETWORK SYSTEMS, une société enregistrée en France et détenue par son associé Solo, en septembre 2012. À l’entendre, cette révélation l’a poussé à demander des informations auprès des anciens employés de CONNECTIC et des banques afin d’enquêter sur des flux financiers qu’il jugeait suspects.
Cette « prise de conscience » soudaine est pour le moins étonnante, car elle survient trois ans après que Ranarison Tsilavo NEXTHOPE ait déjà pris des initiatives en tant que gestionnaire actif de cette même société.
Mars 2009 : Ranarison Tsilavo NEXTHOPE en pleine gestion d’EMERGENT
Retour en mars 2009. Une lettre officielle, envoyée par Ranarison Tsilavo NEXTHOPE à Comstor, un distributeur Cisco, montre qu’il se comportait alors comme un véritable dirigeant d’EMERGENT NETWORK SYSTEMS. Dans cette lettre, il donne des instructions précises et agit au nom d’EMERGENT.
Si l’on suit sa propre chronologie, Ranarison Tsilavo NEXTHOPE aurait donc « oublié » ce rôle actif entre 2009 et 2012, jusqu’à « redécouvrir » l’existence de cette société qu’il avait pourtant représentée trois ans plus tôt. Une amnésie sélective ? Ou une tentative maladroite de réécrire l’histoire ?
Amnésie ou stratégie bien calculée ?
Deux hypothèses s’offrent à nous pour expliquer cette situation :
- L’amnésie sélective : Ranarison Tsilavo NEXTHOPE aurait oublié qu’il gérait activement EMERGENT NETWORK SYSTEMS en 2009.
- La stratégie de l’oubli : En affirmant ne pas connaître cette société avant 2012, il espérait effacer toute trace de son rôle dans les opérations d’EMERGENT.
Mais, hélas pour lui, la lettre de mars 2009 existe bel et bien. Elle prouve que Ranarison Tsilavo NEXTHOPE était non seulement au courant de l’existence d’EMERGENT, mais qu’il jouait un rôle central dans sa gestion.
Quand Ranarison Tsilavo NEXTHOPE « oublie » les faits mais pas les accusations
La véritable ironie de cette situation réside dans le fait que, tout en affirmant ignorer l’existence d’EMERGENT avant 2012, Ranarison Tsilavo NEXTHOPE accuse Solo d’avoir utilisé cette société pour détourner des fonds. Mais comment accuser quelqu’un de détournements si l’on prétend ne rien savoir de la société en question avant 2012 ?
Pire encore, en tant que directeur opérationnel de CONNECTIC, Ranarison Tsilavo NEXTHOPE validait lui-même les factures et supervisait les virements vers EMERGENT. Les archives montrent même qu’il envoyait des emails liés à ces transactions bien avant sa « découverte » de 2012.
Un dirigeant multitâche, mais pas très crédible
Cette situation, bien que sérieuse, prête à sourire. D’un côté, Ranarison Tsilavo NEXTHOPE joue la carte de l’ignorance, mais de l’autre, il existe des preuves irréfutables de son rôle actif dans les opérations d’EMERGENT dès 2009. Ce double discours soulève des questions sur la crédibilité de ses accusations et sur ses véritables intentions.
Conclusion : Une saga judiciaire pleine de contradictions
L’affaire Ranarison Tsilavo NEXTHOPE et EMERGENT NETWORK SYSTEMS est un parfait exemple de ce qui arrive lorsqu’on tente de manipuler les faits tout en laissant des traces écrites. La lettre de mars 2009, les factures validées, et les virements supervisés par Ranarison Tsilavo lui-même racontent une toute autre histoire.
Si un jour Ranarison Tsilavo NEXTHOPE décide de publier ses mémoires, peut-être pourra-t-il inclure un chapitre intitulé : « Comment j’ai découvert ma propre société trois ans trop tard ». En attendant, cette saga est une leçon pour tous : quand on gère une société, il vaut mieux éviter d’oublier qu’on en est responsable… surtout si l’on prévoit de porter plainte plus tard.
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