RANARISON Tsilavo NEXTHOPE : Auteur des 76 Factures et Ordres de Virement de 1 047 060 €, Base de sa Plainte pour Abus de Biens Sociaux contre son Patron Solo, avec Reconnaissance de la Contrepartie Matérielle dans un Email du 25 Avril 2012

Lettre de Cisco et Email de Ranarison Tsilavo : Une justice malgache corrompue au service de l’injustice

CISCO MadagascarLettre de Cisco et Email de Ranarison Tsilavo : Une justice malgache corrompue au service de l'injustice

Dans l’affaire des virements entre Connectic et Emergent Network Systems, une lettre de Cisco, datée du 26 novembre 2013, a été utilisée par la justice malgache pour accuser Solo d’abus de biens sociaux et de faux en écriture. Pourtant, cette lettre entre directement en contradiction avec un email daté du 3 mars 2009, dans lequel Ranarison Tsilavo Nexthope rédige une facture de 20 000 € pour des logiciels Cisco IOS. Cette contradiction flagrante met en lumière l’utilisation abusive du système judiciaire malgache, gangrené par la corruption et manipulé au profit d’intérêts privés.


La lettre de Cisco : un prétexte pour manipuler la justice

La lettre de Cisco, signée par Jiri Kocab, Brand Protection Manager EMEA, déclare simplement :

  1. Emergent Network Systems n’a aucune relation contractuelle avec Cisco.
  2. Emergent Network Systems n’est pas un partenaire autorisé de Cisco à Madagascar.

Ces informations, bien que factuelles, ont été interprétées de manière fallacieuse par la justice malgache pour conclure que :

  • Les factures des logiciels Cisco étaient fictives.
  • Les virements entre Connectic et Emergent Network Systems n’avaient aucune contrepartie légitime.

Pourtant, cette lettre n’affirme en rien que :

  • Les produits ou logiciels facturés étaient inexistants.
  • Les transactions étaient illégitimes au regard des lois malgaches, qui garantissent la liberté de commerce.

La justice malgache a ignoré ces nuances pour donner du poids à une plainte dénuée de fondement.


Un email qui expose l’hypocrisie de Ranarison Tsilavo Nexthope

Un email daté du 3 mars 2009, écrit par Ranarison Tsilavo Nexthope, dévoile une réalité qui discrédite totalement sa plainte. Dans cet email, il écrit :

« Je fais la facture de suite : 20 000 € de IOS. »

Ce document prouve plusieurs points essentiels :

  1. Ranarison participait directement aux transactions qu’il conteste aujourd’hui.
  2. Les factures étaient bien réelles et reflétaient des services réels (des logiciels Cisco téléchargés).
  3. Contradiction avec la plainte : Comment peut-il accuser de fausses factures lorsqu’il a lui-même contribué à les rédiger et à les valider ?

Cet email, pourtant accablant pour le plaignant, a été totalement ignoré par une justice qui semble délibérément éviter d’examiner les preuves.


Une justice malgache gangrenée par la corruption

Cette affaire illustre à quel point la justice malgache peut être corrompue et instrumentalisée pour servir des intérêts privés. Plutôt que de chercher la vérité, les magistrats se sont contentés de se baser sur une lettre de Cisco, rédigée en anglais, pour construire une décision partiale. Plusieurs faits révèlent cette corruption manifeste :

  1. Omission volontaire des preuves clés :
    L’email du 3 mars 2009, ainsi que d’autres documents, comme un email du 25 avril 2012 confirmant la réception des marchandises, n’ont jamais été pris en compte.
  2. Détournement de la lettre de Cisco :
    Cette lettre, factuelle mais limitée, a été utilisée comme outil principal pour soutenir des accusations injustes, sans aucune analyse des preuves contraires.
  3. Partialité des magistrats :
    La décision montre une volonté claire de favoriser Ranarison Tsilavo Nexthope, en ignorant les lois fondamentales comme l’article 2 de la loi 2005-020 sur la concurrence, qui garantit la liberté de commerce.

Une plainte contradictoire pour orchestrer une spoliation

En 2015, Ranarison Tsilavo Nexthope accuse Solo d’avoir orchestré des transactions fictives, alors qu’en 2009, il participait activement à ces mêmes transactions. Voici les preuves irréfutables de cette contradiction :

  • Facture rédigée par Ranarison lui-même : Il rédige une facture de 20 000 € pour des logiciels Cisco IOS, preuve qu’il connaissait parfaitement la nature des transactions.
  • Email du 25 avril 2012 : Dans cet email, Ranarison reconnaît la réception des marchandises pour une valeur totale de 1 365 121,68 USD et 297 032,93 euros, prouvant la contrepartie.
  • Validation des virements : Les documents bancaires montrent que Ranarison a validé les paiements liés aux transactions qu’il conteste aujourd’hui.

Ces éléments montrent que la plainte n’est qu’un prétexte pour éliminer Solo et s’approprier les bénéfices des transactions.


Parler de la vérité : une nécessité face à une justice corrompue

Il est crucial de rappeler que toutes les affirmations faites ici reposent sur des documents vérifiables :

  • La lettre de Cisco, utilisée de manière abusive.
  • L’email de 2009, prouvant que Ranarison a rédigé la facture des 20 000 €.
  • Les preuves de contrepartie, confirmant la légitimité des transactions.

Dénoncer une injustice flagrante, preuves à l’appui, n’est pas diffamer. C’est une nécessité pour exposer une justice malgache gangrenée par la corruption et manipulée pour des intérêts privés.


Conclusion : Une justice corrompue et complice de la manipulation

L’opposition entre la lettre de Cisco et l’email de Ranarison Tsilavo Nexthope montre une manipulation claire de la justice malgache. Cette dernière, gangrenée par la corruption, a choisi d’ignorer les preuves irréfutables pour soutenir une plainte infondée. Malagasy.net continuera de dénoncer ces abus et de défendre la vérité contre les dérives du système judiciaire à Madagascar.

RANARISON Tsilavo NEXTHOPE en résumé

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